Les 12 films sur la course à pied

Ce film classique suit deux athlètes britanniques aux Jeux olympiques de 1924 à Paris. L’un est un athlète de classe supérieure et un chrétien fervent, tandis que l’autre est un étudiant juif qui a été confronté aux préjugés toute sa vie et qui cherche à faire ses preuves dans cette compétition. Ce film primé à plusieurs reprises aux Oscars est apprécié par les coureurs du monde entier pour son histoire inspirante et sa bande-son entraînante.

Forrest Gump, un film qui a remporté 6 Oscars, dépeint l’histoire tumultueuse des États-Unis des années 1950 aux années 1980. Bien que la course ne soit pas le thème central, elle revêt une grande importance pour le personnage principal, Forrest Gump (joué par Tom Hanks). Comme le montre la scène emblématique où sa petite amie l’encourage à courir pour échapper à une embuscade tendue par des camarades de classe.

Le film met en scène Dustin Hoffman et raconte l’histoire d’un coureur amateur qui se retrouve impliqué dans une conspiration politique impliquant des diamants volés. Après avoir été témoin du meurtre de son frère, il devient une cible et doit courir pour sauver sa vie tout en essayant de découvrir les raisons de ce complot. Le film présente une intrigue palpitante, des acteurs talentueux et se concentre sur le thème de la course à pied.

Réalisé par Steve James, ce film est basé sur la vie du légendaire coureur de fond Steve Prefontaine et sur ses efforts inlassables pour réaliser son rêve de gloire olympique avant de mourir tragiquement en 1975 à l’âge de 24 ans. Préfontaine met en vedette Jared Leto dans ce biopic captivant sur le courage et la détermination.

L’incroyable destin du coureur olympique et héros de la Seconde Guerre mondiale Louis « Louis » Zamperini dont l’avion s’est écrasé en mer en 1942, tuant huit membres de l’équipage et laissant les trois rescapés sur un canot de sauvetage. Deux d’entre eux survécurent 47 jours durant, avant d’être capturés par la marine japonaise et envoyés dans un camp de prisonniers de guerre.

À 27 ans, les habitudes, le sous-emploi chronique et les relations toxiques de Brittany Forgler la rattrapent. Quand elle passe au bureau d’un nouveau médecin pour obtenir de l’Adderall, elle se fait conseiller de perdre du poids. Elle ne sait pas quoi faire, jusqu’à ce que sa voisine la pousse à mettre ses souliers et à courir autour d’un pâté de maisons. Le lendemain, elle en franchit deux. Après avoir franchi son premier kilomètre, elle se fixe un objectif: participer au marathon de New York.

Ralph, un garçon élevé par une mère célibataire, apprend que sa mère est gravement malade. Malheureusement, elle tombe dans le coma et les médecins diagnostiquent que son état est critique et que seul un miracle pourra la sauver. Le patient est tombé dans le coma et les médecins ont donné un pronostic sombre, déclarant que seul un miracle pourrait entraîner une guérison.

Faut-il une intervention miraculeuse ? Ralph a accepté de s’acquitter de cette tâche. Ralph a rejoint par hasard l’équipe de course à pied de son école, bien qu’il ne soit pas naturellement doué pour ce sport. Il est déterminé à s’entraîner dur et à atteindre l’objectif ambitieux de gagner le marathon de Boston.

La question reste de savoir si la détermination et la foi d’un adolescent de 14 ans peuvent le conduire à la victoire dans une course d’athlètes hautement compétitive et lui permettre de réaliser son espoir de faire revivre sa mère.

Jesse Owens est un jeune athlète provenant d’un milieu défavorisé qui est recruté par une grande université, puis pris sous l’aile de l’entraîneur Larry Sneider. Jesse domine rapidement le circuit des compétitions nationales et devient l’un des meilleurs sprinteurs des États-Unis. Il parvient à se qualifier pour les Jeux olympiques de 1936 à Berlin, mais vit un débat moral à savoir s’il y participera.

C’est l’histoire extraordinaire d’un père (Jacques Gamblin), absent, dépassé par la présence de Julien, son fils handicapé. Face à lui une mère (Alexandra Lamy) aimante mais étouffante. Julien entend un jour faire savoir à son père qu’il existe et le met au défi de courir la course la plus extrême qui soit, l’Ironman de Nice.

Le film « Without Limits » dépeint la vie de Steve Préfontaine, un athlète américain décédé dans un accident de voiture à l’âge de 24 ans. Steve Préfontaine, qui a été entraîné par Bill Bowerman à l’université de l’Oregon, s’est classé quatrième sur 5000 mètres aux Jeux olympiques de Munich en 1972. L’énergie exceptionnelle de Steve Préfontaine a fait de lui une légende outre-Atlantique.

Colin Smith a été placé dans une maison de correction après avoir commis un vol dans un magasin. Il aime faire de la course à pied et rêve souvent pendant ses courses solitaires pour échapper à sa vie quotidienne banale. Il s’est fait connaître dans l’établissement pour ses capacités de coureur et a choisi de poursuivre les objectifs qui lui ont été fixés par Ruxton Towers, le directeur du centre.

L’athlète éthiopien Haile Gebreselassie a remporté la course de 10 000 mètres lors des Jeux olympiques d’Atlanta en 1996. Son parcours depuis l’Éthiopie jusqu’au podium est une histoire inspirante de détermination. Haile n’a que peu de sources de distraction, mais il nourrit des aspirations. Il écoute attentivement les mises à jour sur les exploits des coureurs de fond de son pays sur la petite radio. La victoire de Miruts Yifter à Moscou en 1980 l’a incité à poursuivre une carrière dans le sport professionnel.